Nous l’attendions à 6 heure sous un beau soleil levant, (…)
Dans la nuit du dimanche 3 au lundi 4 juillet 2005, un (…)
Depuis que j’ai mis ce site en ligne, on me demande régulièrement : “.tk, c’est quoi ? .tk, pourquoi ?”
Comme vous les savez certainement, les extensions (les 2 ou 3 dernières lettres des adresses internet) sont génériques lorsqu’elles ont 3 lettres et géographiques lorsqu’elles n’en ont deux.
Chaque pays (pas uniquement les états indépendants, certaines régions aussi comme la Réunion ou la Guyane) possède sa propre extension.
Pour la France, l’extension géographique est “.fr”, pourquoi aller chercher une extension en .tk ?
Pour une raison très simple : le .fr n’est pas ouvert aux particuliers (cela devait être le cas, mais c’est retardé depuis plus d’un an maintenant).
.tk est l’extension attribuée à l’île de Tokelau, dans le Pacifique Sud, pas très loin des Samoa (enfin, tout relatif, il faut quand même 37 heures de bateau pour s’y rendre ! Ajoutez-y les 30 heures d’avion nécessaires pour rejoindre les Somoa et vous y êtes.).
C’est vrai que cela a même justement attiré l’attention de certaines personnes : “c’est quoi ce site du Pacifique qui parle des sous-marins français ?”
La raison en est très simple : le coût est modique (6,99$ / an contre environ 20 $ pour un .com), voire gratuit si vous ne souhaitez qu’une simple redirection vers une adresse déjà existante, mais assez compliquée (http://perso.monfai.com/perso/mon_nom_a_moi/).
Un immense honneur
Logiciel de paie Louvois : la charge de la Cour des comptes
L’armée de Terre en première ligne dans la bataille des jeunes pour l’emploi et l’égalité des chances
Les armées s’engagent dans le Dark dog moto tour 2012
Meeting aérien devant Toulon : la patrouille de France
Meeting aérien devant Toulon : la patrouille Breitling
Des entreprises français travaillant en Iran, victimes collatérales de la possible vente de BPC Mistral à la Russie ?
Un nouveau nom pour le "Portail des sous-marins"
La France dépasse la Grande-Bretagne en terme de dépenses militaires
Améliorer le “Portail” : analyses des résultats définitifs