C’était le 12 décembre 1944. Le soldat Robert Lynch (…)
Le ministère de la Défense britannique a confirmé (…)
Le président de la compagnie a affirmé au cours de la cérémonie de jonction du sous-marin destiné Ã la Marine Malaisienne que l’avenir du chantier naval était assuré.
Navantia a transformé hier un de ses halls de construction en salle des fêtes accueillante, bien que trop chaude, pour célébrer la jonction de la proue et de la poupe du second des sous-marins Scorpène qui ont été construits pour la Marine Malaysienne dans les chantiers navales de Cherbourg et de Carthagène.
Comme cela s’est passé en France le 19 février dernier avec le premier, la jonction de la proue française et de la poupe espagnole a eu lieu hier à Carthagène. Pour être plus précis, ce fût l’amiral de la Marine Malaysienne qui s’est chargé de donner le signal final pour la jonction des 2 parties du submersible.
Pendant cette opération, les représentants de ces 3 pays ont manigesté leur satisfaction pour le développement et le résultat de la construction des 2 sous-marins. "L’avenir du chantier de Carthagène est assuré parce que le résultat a été extrêment positif. Avec la construction des 4 Scorpène que nous avons effectuée jusqu’à présent, Carthagène se situe sur la première marche en ce qui concerne la construction de sous-marins", a assuré le président du chantier, Juan Pedro Gómez Jaén.
Le lancement du premier sous-marin aura lieu à Cherbourg en octobre 2007, et celui du second à Carthagène un an plus tard. Selon les prévisions actuelles, les 2 sous-marins seraient remis à la Marine Malaysienne en 2009.
Après la sorite des 4 bâtiments déjà construits, les contrats de Navantia avec des marines étrangères n’ont pas cessé. De fait, des conversations ont commencé avec la Turquie pour construire une nouvelle série de 6 sous-marins. "La Marine Turque s’est montrée intéressée par nos bâtiments, mais nous n’avons toujours aucune assurance. En septembre, les négociations se concrétiseront, j’espère avec succès mais je préfère être prudent", a expliqué Gómez Jaén.
Source : La Opinión de Murcia (Espagne)
