Alors qu’il pilotait le yacht d’un ami, dans le secteur (…)
Le « Tourville » a pris le chemin du retour ce matin, (…)
Dans l’idéal, il nous faut un deuxième porte-avions. Mais il n’aurait pas été raisonnable de le lancer tout de suite. Cela aurait obéré les autres grands programmes.
C’est un investissement très lourd. Nous devons d’abord faire face à d’autres urgences, à d’autres priorités absolues que sont le remplacement de nos équipements usés : hélicoptères Pumas, Transall, les véhicules blindés de l’armée de terre, les nouvelles frégates, les sous-marins nucléaires d’attaque, et l’acquisition de nouveaux moyens de renseignement. Voilà pourquoi il nous faut un peu de temps avant de lancer le deuxième porte-avions.
Sera-t-il lancé un jour ? Le président de la République ne l’exclut pas.
Source : Le Télégramme