Le sous-marin nucléaire d’attaque North Carolina de la (…)
Tous les systèmes de tuyauteries non-nucléaires des (…)
La frégate de la Marine Nationale a appareillé le 4 décembre 2007, terminant ainsi sa première escale dans le monde virtuel Second Life. Cette escale s’est révélée être une formidable tribune pour présenter les missions de la Marine, expliquer ses métiers et nouer un premier contact avec les futurs marins français.
Les six journées d’escale ont été intenses de rencontres et d’échanges : 1400 personnes ont visité le bâtiment conçu par la société Stonfield InWorld, experte des mondes virtuels et dialogué avec des marins professionnels. « Comparé à un salon classique de l’emploi de même durée, c’est presque le double ! » commente Stanislas Gentien, responsable "recrutement on-line" de la Marine Nationale. « Cette initiative de la Marine a emporté l’adhésion de la quasi totalité des visiteurs ; elle a en particulier éveillé la curiosité de professionnels et d’institutionnels qui sont venus découvrir et observer. De plus, de nombreux prescripteurs (professeurs, proviseurs, missions locales d’insertion, associations,…) s’en sont fait les relais ».
La grande majorité des visiteurs (plus de 1200 d’entre eux), est venue avec des questions sur les missions, les moyens et les métiers de la Marine. Parmi eux, près de la moitié (600 environ) a montré un vif intérêt pour un parcours professionnel dans la Marine. Les semaines à venir permettront de savoir combien de recrutements découleront précisément de cette démarche.
« Il faut noter qu’une proportion inhabituelle - proche des 40% - de débutants des mondes virtuels ont fait la démarche de passer par Second Life en créant un compte utilisateur, uniquement pour rencontrer la Marine. L’innovation technologique au service des échanges interactifs est au coeur de ce dispositif que nous avons conçu pour la Marine Nationale dans un monde virtuel » commentent David Castera et Pierre-Olivier Carles, dirigeants de la société Stonfield InWorld. « Des Canadiens, Américains, Anglais, Espagnols ou Brésiliens ont, eux aussi, embarqués sur la frégate... preuve que le bouche à oreille a fonctionné bien au delà de nos frontières ! » conclut Caroline Ducret, chargée de la communication « recrutement » de la Marine Nationale.
Forte de cette expérience, la Marine Nationale continuera à explorer de nouveaux territoires de communication et d’échanges.
Source : Marine Nationale (Service d’Information sur les Carrières de la Marine)