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Le jour est à peine levé quand le pont d’envol de 358 mètres du porte-avions américain Stennis s’éveille. Les chasseurs-bombardiers F-18 Hornet et les avions de guet aérien Hawkeye ont encore leurs ailes repliées, les réacteurs sont silencieux, les mécanos étouffent des bâillements. C’est un calme apparent : cette ville de quelque 5 500 hommes et femmes qui vit au rythme des avions n’a pris du repos que par roulements.
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Source : Le Monde