La marine française veut frapper plus loin, plus vite, plus fort

  • Dernière mise à jour le 2 janvier 2006.

JUSQU’À LA DISSOLUTION de l’empire soviétique et l’avènement de la menace Ben Laden, le chevalier de la Rouvraye pouvait encore avoir raison. Quand, en 1815, il proclamait que « la guerre sur mer a bien peu de rapports avec celle que l’on fait sur terre ». Les temps étaient au contrôle des grands espaces maritimes, flotte contre flotte, marine contre marine. Sur terre, d’autres menaces, d’autres ripostes.

Source : Le Figaro