Le ministre Brésilien de la défense, Nelson Jobim, a (…)
Après une nuit passée au mouillage à Camaret, nous nous (…)
Cette journée a été très dense : il fallait prouver aux entraîneurs embarqués pour l’occasion que nous étions capables de contrer diverses agressions (menaces torpilles et missiles), en restant plus de cinq heures au poste de combat. Pendant ces cinq heures, tout a été entrepris pour continuer le combat, mais aussi protéger au mieux notre bâtiment et se préparer au pire (destruction de la passerelle par exemple).
Source : http://jdb.marine.defense.gouv.fr/i...