Le 9 janvier 2024, le porte-avions Charles de Gaulle a (…)
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Un mois après les premiers tirs opérationnels de missiles surface-air de l’histoire de la Marine nationale, les premiers enseignements commencent à se forger. Mais le besoin de renforcement des capacités d’autoprotection des navires, encore à chiffrer, risque de buter sur la réalité budgétaire interarmées.
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Source : Le Marin