Tout au long du mois de novembre, la frégate de défense (…)
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La marine néo-zélandaise dispose de 9 bâtiments. 3 sont désormais bloqués indéfiniment à la base navale de Devonport, par manque de personnel. Le patrouilleur de haute-mer HMNZS Wellington est le 3è bâtiment à entrer en “période de disponibilité”, rejoignant le patrouilleur HMNZS Otago et un des 2 patrouilleurs côtiers HMZNS Hawea.
Le chef des forces armées, l’Air Marshal Kevin Short, a déclaré que cette décision permet de libérer du personnel technique malgré un manque de personnel. Placer un bâtiment en gardiennage permet de mieux gérer les effets de la pénurie, a-t-il expliqué.
Quant à savoir si cela permettrait aux autres bâtiments de la flotte de rester opérationnels, un porte-parole a expliqué qu’il y a plusieurs facteurs.
« Le manque de personnel est actuellement de 16,5%. S’il reste à ce niveau nous devrions avoir assez de marins pour faire naviguer les autres bâtiments, » a expliqué le porte-parole. « Néanmoins, la situation reste incertaine tant que nous ne parviendrons pas à renverser la tendance. Cela exige de prendre des décisions, en particulier pour réduire l’écart grandissant entre les salaires proposés par la Marine et ce que le marché de l’emploi civil propose. »
Source : Naval News (Etats-Unis)
