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Un technicien de la 33F télécommandant un "tracteur" range le Caïman dans le hangar de la frégate.
Compte tenu de sa masse et de ses dimensions d’une part, et de ses pales et son pylône de queue à repliage automatique d’autre part, le Caïman marine peut opérer à partir de frégates, du porte-avions ou des BPC (bâtiments de projection et de commandement). Il répond aux spécificités de l’embarquement à la mer, pour une mise en œuvre par mer forte (roulis 10°) et un vent de 50 nds.
Réactivée en décembre 2011 sur Caïman marine, dont elle a été la première flottille équipée, la 33F opère depuis la BAN de Lanvéoc-Poulmic, mais aussi à partir des frégates multi-missions (FREMM) sur lesquelles un détachement permanent met son expertise au profit de la maîtrise du milieu aéromaritime dans toutes ses dimensions (lutte anti sous-marine, lutte antisurface, contre-terrorisme maritime). Les capacités du Caïman Marine et ses performances apportent à la FREMM, un outil de premier ordre dans le combat aéromaritime, particulièrement adapté aux menaces modernes pour la lutte anti-sous-marine mais aussi au profit de missions de surveillance maritime et de soutien (secours en mer, logistique, transport de commandos).
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Source : Marine Nationale