À bord du « Charles de Gaulle », se préparer au pire

  • Dernière mise à jour le 20 mars 2015.

C’est le cas pour tous les navires, mais encore plus pour celui-ci, chargé de combustibles, bombes, occupants (1950) et d’une chaufferie nucléaire : le feu est le premier ennemi du porte-avions. La base du travail des rondiers est donc de détecter précocement toute anomalie qui pourrait dégénérer rapidement en un sinistre majeur pour le porte-avions, particulièrement en ce qui concerne les incendies. Selon le chef de la brigade de sécurité incendie, le dernier sinistre en la matière est arrivé lorsque le navire était intervenu en fin d’année... à quai, sur un chariot élévateur.

L’article est disponible sur le site du journal.

Source : Le Marin