Après plus d’un mois d’errance suite à un incendie, le (…)
Lundi 13 août, matin. Le BH2 Laplace laisse derrière lui (…)
Lorsqu’il n’embarque pas avec la « Royale » ou la « Marmar », la marine nationale ou la marine marchande, le peintre portuaire s’amarre à son chevalet et jette sur la toile sa cargaison de sensations et d’émotions. La rouille, les vieux bois gorgés de sel, le vent, les embruns expriment la douceur des lumières, la force des éléments dans des compositions empruntées à l’univers maritime.
L’article est disponible sur le site du journal.
Source : Ouest-France