C’est sous un grand soleil que le La Pérouse a traversé (…)
Michel Baudier, un résident de Pornichet, a découvert en (…)
Au cours des deux semaines séparant les escales de Palerme et de Tunis, le La Pérouse a navigué entre les dépressions (météorologiques, rassurez-vous !). L’état de la mer et du vent a poussé le bâtiment à aller à plusieurs reprises jeter l’ancre à l’abri de rochers. A défaut de pouvoir continuer les travaux hydrographiques, ces périodes de mouillage ont été l’occasion d’admirer des falaises et des paysages sauvages peu observés.
Source : http://jdb.marine.defense.gouv.fr/i...