Avec près de 2.000 marins à bord, le Charles-de-Gaulle (…)
Des marins d’Etat sur des bateaux à voile, comme du (…)
Pour Paulo, 37 ans, maître de quart à l’une des deux catapultes, le plus dur n’est pas la chaleur, mais le bruit et la fatigue. « Cela finit par peser  », confesse-t-il.
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Source : Le Télégramme