Ce midi, la Marine nationale et les pompiers sont venus (…)
Partir loin, longtemps, en mission et en équipage, le 5 (…)
Quand, le 22 janvier dernier, le porte-avions américain USS Abraham Lincoln a franchi le détroit d’Ormuz malgré les menaces iraniennes, il n’avait nullement besoin à ses côtés de la présence de frégates européennes, son escorte constituée par un croiseur et deux destroyers étant suffisante pour assurer sa protection. Pourtant, deux frégates, l’une française, La Motte-Picquet, l’autre britannique, l’HMS Argyll, ont bel et bien accompagné le porte-avions de l’US Navy dans le stratégique détroit d’Ormuz, qui sépare le golfe Persique de la mer d’Oman.
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Source : Opex 360