De l’aéroport au porte avions Charles-de-Gaulle

Je fonctionne à l’adrénaline. Alors s’il faut aller en Libye, j’irai. L’intégration de ce bâtiment dans des opérations de guerre, le côté militaire m’intéressent. Je veux le voir avec des Rafale et découvrir cette vie-là", confie dans un large sourire Maxime Yvrard, le commandant du bataillon des marins-pompiers de l’aéroport depuis trois ans, mais plus pour longtemps.

L’article est disponible sur le site du journal.

Source : La Provence