Bruno Richebé juge que le constructeur de sous-marins (...)
L’école de voile de la base Chaleix de Nouméa, appelée (...)
Cri d’alarme. C’est le terme utilisé par Bruno Richebé lui-même pour expliquer que la pérennité de DCNS est engagée. « Nous n’avons pas assez de travail par rapport à nos ressources. Les salariés doivent s’approprier ce fait, pour se bagarrer afin d’améliorer le plan de charge, trouver des compléments d’activités à la construction de sous-marins. »
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Source : Ouest-France