L’aéronavale a déjà une sérieuse idée du nom de baptême (…)
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Il n’y a que quelques dizaines de kilomètres entre Lanvéoc-Poulmic (Finistère) et Landivisiau (Finistère aussi). Mais, pour les aspirants, des mois d’efforts qui ne suffisent pas toujours : une sélection impitoyable se charge, traditionnellement, d’éclaircir les rangs. On le sait, l’aéronavale ne garde que la crème de la crème pour faire apponter ses avions sur un terrain de football à peine stabilisé par le SATRAP du porte-avions.
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Source : Le Mamouth