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Dans son dernier ouvrage, Yann Queffélec crie sa conviction que c’est le Dolfijn, submersible néerlandais, qui a causé la perte du Bugaled-Breizh. Pas de révélations dans ce livre mais le poids média de Queffélec ne nuira pas au dossier.
L’article est disponible sur le site du journal.
Le lecteur pourra relire avec intérêt les 2 articles démontant la même théorie défendue en 2007 par les auteurs de “Le Bugaled Breizh - Secrets d’états autour d’un naufrage” : – Bugaled Breizh : une enquête par 2 journalistes (1ère partie), – Bugaled Breizh : une enquête par 2 journalistes (2ème partie).
Pour mémoire, la vitesse que le Dolfjin aurait dû atteindre pour pouvoir parcourir les 8 nautiques qui séparent sa dernière position et le Bugaled-Breizh, est de 34 nœuds !
Un de nos lecteurs vient de nous rappeler un autre article, paru en mars 2007 dans le Télégramme, lui aussi. Que dit-il ? Que le Dolfjin ne peut être responsable du naufrage parce que, dit le procureur de la République, "à 12 h 23, on est aujourd’hui sûr qu’il s’agit de l’heure du naufrage, le Dolfijn se trouve à une dizaine de milles nautiques du Bugaled-Breizh".
Source : Le Télégramme