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Des militaires parfois pas assez entraînés, la moitié des avions indisponibles, des navires à bout de souffle, de nouveaux équipements qui tardent... et qui font exploser les crédits. C’est l’incroyable bilan dressé par un récent rapport parlementaire... passé presque inaperçu.
Quant à la Marine, ce même rapport épingle la multiplication des aléas techniques sur les systèmes de propulsion des navires. « Cela a conduit à réaliser certaines missions avec des bâtiments dont les moteurs étaient dégradés, voire pour partie en panne. » Référence au sauvetage des otages du Ponant, il y a tout juste un an ? Sur place, la frégate Surcouf avait été victime de problèmes de ligne d’arbre, la frégate Jean-Bart de problèmes de moteur. Un chaland de débarquement avait même coulé, sous le poids des équipements des commandos. Enfin, victime d’une panne moteur, l’avion de patrouille, qui supervisait l’interception des preneurs d’otages, avait dû atterrir en catastrophe au Yémen. Une heure plus tôt et toute l’opération, menée avec brio, capotait !
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Le Télégramme
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