Dans la grisaille, les Brestois ont le coeur gros

  • Dernière mise à jour le 18 mai 2006.

Navire gris sous ciel gris. Lentement, le Clemenceau avance comme un bateau-fantôme. Trois gouttes de pluie l’accompagnent. Comme lors d’une procession, une marche funèbre. « Tu vois, il est né ici et il revient mourir ici », dit Carole, àsa fille, Léa, 6 ans.

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Source : Ouest-France