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© Royal Navy
Au cours de leur traversée de l’Atlantique, les bâtiments britanniques participant à la mission Auriga ont mis à profit la présence du sous-marin nucléaire d’attaque français Perle pour s’entraîner à la lutte anti-sous-marine.
Les bâtiments participant à la mission ont développé leurs compétences dans le domaine de la lutte anti-sous-marine pendant le transit entre la Grande-Bretagne et Norfolk (Etats-Unis).
Au cours de scénarii baptisés “À la poursuite d’Octobre Rouge” pour les uns, et la “Malédiction du Black Perle” pour les autres, ils ont cherché à détecter et à attaquer, au cours de batailles sous-marines simulées, le SNA Perle — que les bâtiments britanniques ont décrit comme "un adversaire valeureux".
Au cours des 2 semaines de transit, ce sont près de 29.100 émissions sonar qui ont été émis dans l’eau pour tenter de détecter le sous-marin.
Pendant le transit, il y a aussi eu des échanges de personnel entre le sous-marin et certains des bâtiments de la force. 2 marins, le Lieutenant Keith Esliger (un officier d’échange canadien) et le quartier-maître ‘Final’ Furlong ont ainsi pû passer 72 heures à bord. Ces 2 aviateurs ont estimé qu’il s’agissait “d’une expérience intéressante. Mais aucun de nous ne souhaite passer une 73è heure à bord.”
Source : Royal Navy