Initiée en juillet dernier, la mise en place par la (…)
La Marine nationale suit les traces de l’Armée de terre (…)
L’avarie du Charles de Gaulle, qui a entrainé une immobilisation du navire entre février et septembre (après 15 mois d’arrêt technique majeur), met par ailleurs en lumière le risque capacitaire que représente une flotte dotée d’un seul porte-avions. « Les incidents que nous avons connus cette année démontrent, s’il en était besoin, la nécessité d’un second porte-avions, sujet sur lequel nous ne sommes plus liés aux Britanniques.
L’article est disponible sur le site du journal (2è titre).
Source : Mer & Marine