D’importants moyens aériens et nautiques ont été (…)
A l’occasion du centenaire de l’industrie aérospatiale, (…)
L’affaire n’aurait probablement jamais éclaté au grand jour. Il a fallu qu’un journaliste très au fait des questions militaires l’apprenne et divulgue (lepoint.fr) cette bien enquiquinante affaire de disparition au sein de la pyrotechnie surprotégée du Relecq-Kerhuon (29). Une base où l’on entrepose les munitions et les projectiles qui équipent les navires militaires brestois ; de la plus petite cartouche de fusil à la torpille... jusqu’au missile de forte puissance.
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Source : Le Télégramme